Textes :
Nicolas Lhomme
« La guilde des pirates. Tome I : Le trésor des Maures«
Rédigé dans un style vif et moderne, cet ouvrage propose une découverte originale de la naissance du protestantisme, une plongée dans les tensions religieuses historiques avec le catholicisme, tout autant qu’un état des lieux réaliste du XVIIe siècle, aux Pays-Bas. Destiné plutôt aux jeunes et aux adolescents, il peint une toile qui mêle à la fois réalité historique et mythologie antique, jusqu’à une immersion aux confins des origines des religions, dans l’Égypte antique des pharaons.
Joëlle Perelberg
« D’eux deux: Roadtrip en 2CV jusqu’en Pologne«
Ce qui va suivre est la belle histoire de Samy et Sarah.Un coup de foudre improbable, qui devint une histoire d’amour belle, certes, mais cruelle.Cette histoire a commencé…. sur le fleuve Amour, lieu prédestiné,ce long fleuve sombre et tortueux qui tisse la frontière entre l’extrême-orient russe et la Chine.Un voyage d’un groupe hétéroclite au Birobidjan, terre désolée cadeau de Staline aux Juifs.Rien ne laissait imaginer qu’il y aurait histoire d’amour.Lui, plutôt âgé, vivant dans un pays lointain.Elle, l’ayant trouvé sympathique, amusant, mais n’imaginant pas,n’imaginant vraiment pas, le revoir un jour le voyage terminé.Or c’est leur amour des voyages et de l’aventure qui les a rapprochés.De façon inattendue, cette rencontre sur le fleuve Amour est devenue, par la magie des mots, une incroyable épopée …Epopée, histoire d’amour, roadtrip en 2 CV sur les routes dePologne à la recherche de la mémoire juive … Que vous dire?…Lui tenait un blog, tandis qu’elle écrivait son journal.Cela commença ainsi:« I think that for us, Birobidjan et l’Amour will be interlaced dans notretissues…. Samy »Sarah avait ri de la galanterie plaisante en lisant ces mots, puis lui avait répondu.De leurs écrits conjugués qui me sont parvenus…, voici l’histoire.
Joëlle Perelberg
« Toujours j’aimerai la mer«
Un cri de rage et d’amour dans ce texte dépouillé des cahots de l’âme blessée, éloigné des vagues pathétiques. C’est une histoire de maladie, de tumeur, de chambre aseptisée et de procédures douloureuses. C’est aussi, en creux, celle d’un amour entre Marc, le patient, et Suzy, son épouse. Au couple d’abord séparé par les soins, puis définitivement par les limbes, s’opposent ainsi, inversés, les souvenirs du temps ensemble, des amants qui se découvraient, de la famille qui s’est agrandie. C’est un tombeau que compose donc Joëlle Perelberg. Certes parce que ce texte est placé sous le signe du deuil à accomplir, mais surtout parce que celle qui reste érige, dans une prose à fleur d’âme, un monument dédié à l’un de ces amours tardifs, banals diront certains, extraordinaires d’épanouissement préférons-nous. Avec en arrière-pensée un réquisitoire pour que nos hôpitaux changent.
Dépouillé des cahots de l’âme blessée, éloigné des vagues pathétiques, « Toujours j’aimerai la mer » impose à la relation de la perte de l’être aimé un style discret et économe qui laisse ainsi poindre, en notes étouffées, moins lisibles que perceptibles, les sentiments d’alors, la terreur certainement, mais aussi l’admiration pour celui qui supporta le calvaire. Récit d’un amour qui se renforça dans l’épreuve et qui n’a pas perdu en intensité avec le temps et les funérailles, le témoignage de Joëlle Perelberg touche à l’un des curieux ressorts du deuil : laisser partir le défunt tout en le retenant, encore un peu, par le rappel des jours étincelants.
Traductions :
Joëlle Perelberg (traduction)
« Les vendeurs de cigarettes«
de Joseph Ziemian (Auteur), Boris Cyrulnik (Préface)
Les vendeurs de cigarettes raconte l’histoire stupéfiante et véridique d’un groupe d’enfants Juifs qui ont réussi à s’échapper du ghetto de Varsovie en 1942 et à survivre dans la section aryenne de la ville occupée par les Nazis. Après la destruction du ghetto, ces enfants se sont rapprochés et entraidés mutuellement. Condamnés à mort, pourchassés de partout, ils ont gagné leur vie en faisant du trafic de cigarettes sur la Place des Trois Croix – où l’auteur, un membre de la Résistance Juive Polonaise, les a rencontrés et aidés. C’est lui qui raconte leur histoire à partir des notes qu’il a prises pendant la guerre. Plusieurs des enfants ont été arrêtés et tués, mais la plupart ont survécu et ont eu une vie épanouissante. Les vendeurs de cigarettes est non seulement un document historique objectif mais aussi le, récit d’un drame intensément humain, le plus impressionnant étant que ce sont les faits qui parlent d’eux-mêmes. Et c’est bien vrai, car nul ne peut s’empêcher d’être profondément ému par le courage et les ressources de ces enfants
Joëlle Perelberg (traduction)
« Moshkele Ganef«
de Sholem Aleikhem (Auteur), Michael Cukier (Illustrations),
Sholem Aleikhem, nom de plume de Sholem Rabinovitch, est né en Ukraine en 1859 et décédé à New-York en 1916. Il a été l’auteur très prolixe de romans, nouvelles et pièces de théâtre en yiddish, langue dont il faisait la promotion comme « langue nationale du peuple juif ». En conséquence il est considéré comme le père de la littérature yiddish.
« Que mon nom ne soit associé qu’avec des rires ou ne soit pas célébré du tout » écrira-t-il dans son testament…
Aussi réjouissez-vous à la lecture de cette nouvelle endiablée à la gloire du voleur juif Moshkélé!
Illustrations :
Découvrez deux ouvrages disponibles à la médiathèque, magnifiquement illustrés par Nicolas Blanc, natif de Gattières.
« Nicolas Blanc, peintre de l’infini dans le fini, chromatisme musical et double dimension »
Ce livre retrace plus de 30 années d’expérience artistique en explorant diverses techniques telles que le dessin, la fusion entre la musique et la couleur, la création assistée par l’intelligence artificielle, l’art abstrait numérique et le photo-montage.
Revenant du futur, « Captain Orient », avec Miss Dame Orient
Textes de Rémi Mogenet – Illustrations de Nicolas Blanc
Ce roman graphique de science-fiction ésotérique associe des images époustouflantes à des poèmes suggestifs pour dévoiler l’extraordinaire voyage du Capitaine Orient, super-héros.